Après quelques jours sur Grenoble, nous sommes retournés en Tarentaise pour le pont du 15 Aoùt.
Pris de cours on s’est préparé sur la carte une rando non loin de Bourg Saint Maurice sans savoir que c’était un classique du coin.
Qui dit classique, dit monde, mais bon, c’est vrai que c’est joli.
On a choisi de laisser la voiture aux Echines sur un petit parking. Au départ, on cherche un peu le chemin, car il semble y avoir eu des degats avec des crues et on croit que le chemin a été avalé mais en fait on est à 200m du départ du sentier un peu plus haut sur la route 🙂 .
Après ce petit contre temps, on attaque ce sentier bien raide pour commencer jusqu’a rattraper une piste qui monte au petit hameau de Planey ou 2 chalets sont en cours de rénovation.
On suit ensuite cette piste qui remonte quelques petits hameaux bien sympatiques au bord du ruisseau dans ce vallon isolé. On monte, on monte sur piste ou parfois en suivant des cairns pour éviter les longs lacets de la piste.
Au chalet de la Combe on prend a gauche, la pente augmente et on finit par devoir mettre les mains sur une toute petite portion mais mieux vaut ne pas glisser.
On arrive au verou du lac d’Esola. C’est assez beau avec ce lac, le linaigrettes et les sommets de l’autre côté de la vallée.
Il est 12h30 alors on se trouve un coin pour avaler nos sandwichs. Mais comme c’est très agréable, on en profite pour faire une bonne sieste. Il y a pas mal de monde et de passage mais c’est vrai que c’est accessible facilement. Après notre sieste, on part voir tous les 4 autres lacs.
Ca grimpe bien pour arriver au verrou suivant mais ca se fait bien. Sur le petit plateau on découvre, la Lac Riondetn puis la lac Cornu et le Lac Verdet. Ca grouille de monde, c’est bizarre. On continue et on grimpe vers le dernier lac, la lac Noir (encore un lac Noir). Un drôle de bruit nous accueille, c’est le son d’un drône, pas top comme feeling.
Pour éviter de faire comme tout le monde on redescend en contournant les lacs par le côté opposé avant de rejoindre le sentier qui monte au col de Forclaz.
Du col on descend doucement dans les alpages et les vaches en direction du fort de la Platte. Aux abords du fort, on suite une trace qui longe la crête. On se fait une petite flippe en longeant le vide sur ce sentier très étroit mais heureusement, les passages sont courts alors ca passe assez bien.
Au fort, il y a des chèvres partout. On étudie la carte pour voir ce quon fait car on a pas trop envie de descendre par la route. On repère un sentier un peu plus bas qui mène au fort du Truc. Maleheureusement, le sentier est assez pentue et devient fatiguant à la longue. Les pieds chauffent à freiner en permanence mais on fini tout de même par arriver au fort du Truc. Le fort est très bien intégré à la végétation, on le voit à peine.
Du fort, on rejoint la route qui nous ramène à la voiture sur les coups de 16h30. Encore une fois, on finit bien fatigué après 18km et 1200m de D+.
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